C’est la question que se pose Charles Mann dans la Technology Review    du MIT, en détaillant comment les programmeurs travaillent et quelles    pressions économiques pèsent sur le secteur. Mais demain, parce    qu’ils seront plus impliqués dans notre vie quotidienne, les logiciels    n’auront plus droit à l’erreur. Selon Charles Mann, le temps des procès    mettant en cause la responsabilité des éditeurs de logiciels devrait    bientôt commencer. Parralèlement, la National Institute of Standards    & Technology (NIST) américaine vient de remettre un rapport qui détaille    les causes des bugs et suggère plusieurs remèdes. Selon cette    étude, les bugs coûteraient près de 60 milliards de dollars    par an, mais 64 % d’entre eux seraient le fait des utilisateurs contre 36 %    qui proviendraient des programmeurs.
   L’info : http://www.homo-numericus.bonidoo.net/spip_redirect.php3?id_breve=315    et http://www.silicon.fr/public/door?6004REQEVENT=&REQINT1=6720&REQSTR1=net2one    
Résumé de l’étude du NIST : http://www.nist.gov/public_affairs/releases/n02-07.htm    
L’analyse de Charles Mann dans la Technology Review : "Why Software is so bad" : http://www.technologyreview.com/articles/mann0702.asp?p=0
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